Pidy

Pidy vise la satisfaction client grâce à des informations produit irréprochables

Cet été, Pidy, qui fait partie de Biscuit Bouvard, a participé au Data Quality Contest. L’entreprise prend la qualité, et donc également la qualité des données, très au sérieux. Rino Adam joue un rôle clé quand il s’agit de fournir des masterdata correctes chez Pidy. Nous lui avons demandé quelle était son approche en matière d’informations produit de qualité.

Notre interlocuteur

Pidy a vu le jour en 1967. L’entreprise est spécialisée en pâtes prêtes à garnir, comme les bouchées, les choux, les mini-tartes, etc. Son siège se trouve à Ypres, mais elle dispose également d’implantations en France, au Royaume-Uni et aux États-Unis.

Cela fait déjà 20 ans que Rino Adam travaille chez Pidy, il a commencé en tant qu’acheteur, et occupe depuis 10 ans le poste de Master Data Administrator. Il est chargé, avec deux collègues, de veiller à ce que les masterdata soient correctes. Il est plus particulièrement responsable des informations envoyées à GS1.

Rino Adam

Qualité des données de 100 % comme objectif

« Je contrôle de manière hebdomadaire la qualité des données dans My Product Manager », nous explique Rino. Il s’agit d’une part des notifications via les rapports, et d’autre part des messages CIC, le feedback des clients. Avant la compétition, la qualité de nos données atteignait déjà 100 %, mais il restait tout de même quelques avertissements qui sont à présent résolus. Prochain projet, les informations d’emballage. Cela demande toutefois de nombreux ajustements, car pour l’heure ces informations ne figurent pas encore dans notre système ERP. À long terme, nous souhaitons aussi échanger les informations d’emballage, vu que les clients nous les demandent également », nous dit Rino, « mais nous devons encore voir dans quelle mesure cela peut se faire dans notre configuration machine-2-machine. » 

L’esprit de Pidy se fonde sur la passion et la qualité, mais aussi sur la satisfaction et le support client. « En tant qu’ambassadeur Pidy, j’aimerais que la communication relative à nos produits de qualité soit aussi claire et complète que possible, raconte fièrement Rino. Dans l’alimentation, il est crucial que le consommateur soit bien informé à propos des ingrédients, mais aussi des nutriments et allergènes.

Collecter des informations correctes

Pour recueillir les données, Rino dépend de plusieurs départements, et le moins que l’on puisse dire c’est que c'est du sport. Pensez, par exemple, aux images produit qui doivent être demandées au marketing. « Cela peut durer un certain temps avant que je parvienne à collecter toutes les informations », ajoute Rino.

Durant le Data Quality Contest, ce sont les images produit qui ont demandé le plus de travail. Depuis quelques années, il est obligatoire de fournir un packshot au sein du secteur FMCG & Foodservice, nous avions dès lors une bonne base de départ. Pour certains articles, l’URL renvoyant vers les packshots était erronée. « Grâce à un bon suivi, tous les produits sont désormais pourvus d’un lien correct avec un packshot de qualité. » Enfin, pour certains produits les nutriments étaient manquants ou incorrects, c'est désormais adapté. 

Pidy

« Nous devions en outre également tenir compte des releases trimestriels du datamodel. Il faut ensuite un certain temps pour déchiffrer l'impact sur nos produits. Les rapports de simulation sont d’une grande aide à cet effet. Ils nous donnent un aperçu des éléments qui doivent être adaptés pour le release suivant.

La configuration machine-2-machine rend l’échange de données plus efficace

Pour conclure, Rino recommande aux entreprises d’opter pour une configuration machine-2-machine. Chez Pidy, ils travaillent avec un système ERP qui envoie les données automatiquement vers les différents marchés cibles, sans avoir à les introduire individuellement à chaque fois. En cas d’adaptation, c’est un partenaire externe qui veille à ce que ce soit programmé dans le système ERP, et déployé pour tout l’assortiment. Le système ERP indique directement s’il y a des messages d’erreur, ce qui permet un suivi en toute simplicité. « Autrement dit, cela nous permet de gagner beaucoup de temps », conclut Rino.

Blog
23/11/2023
FMCG & Foodservice
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